Accéder à l'Espace famille

Newsletter

Suivez la Ville sur les réseaux

Icone Facebook  Icone YouTube
Icone Instagram Icone LinkedIn

Agenda

l m m j v s d
 
 
 
1
 
2
 
3
 
4
 
5
 
6
 
7
 
8
 
9
 
10
 
11
 
12
 
13
 
14
 
15
 
16
 
17
 
18
 
19
 
20
 
21
 
22
 
23
 
24
 
25
 
26
 
27
 
28
 
29
 
30
 
31
 
 
Ajouter à mon CalendrierSouscrire à Agenda de Saran

Traduire le site

La fronde grandit contre le coûteux projet de requalification des mails d’Orléans.
En janvier dernier, 17 maires (dont celui de Saran) sur les 22 que compte la Métropole ont écrit à Serge Grouard pour lui faire part de leurs réserves quant à son projet de réaménagement des mails. Cette restructuration des boulevards, depuis Place d’Arc jusqu’au pont Joffre, se doublerait d’une extension du centre commercial avec la suppression de la gare routière TAO. Cette opération pharaonique à l’intérêt contesté est aujourd’hui estimée à 76 millions d’euros. Pourtant, la dette d’Orléans Métropole ne cesse de croître et va dépasser les 700 millions d’euros en 2025 en raison des coûts non maîtrisés de la construction de CO’Met et de la ZAC Madeleine. Face à l’entêtement du président de la Métropole qui est aussi (et surtout) maire d’Orléans, une nouvelle étape a été franchie ces dernières semaines : les conseils municipaux de Combleux, Fleury les Aubrais, La Chapelle Saint Mesmin, Olivet, Saint Jean de Braye, Saint Jean de la Ruelle, Saran et Semoy ont exprimé un avis défavorable au projet. Seul le conseil municipal d’Orléans a donné son accord. Notre Métropole doit abandonner cette opération « orléano-orléanaise » et se concentrer sur la rénovation des nombreuses routes dégradées dans toute l’agglomération ainsi que sur le développement des transports en commun et des pistes cyclables !

La loi s’applique à toutes et tous, y compris aux politicien-ne-s. 
Suite à la multiplication des affaires politico-financières ces 30 dernières années et sous la pression de l’opinion publique comme des associations anti-corruption, plusieurs lois de moralisation de la vie politique ont successivement été adoptées par le Parlement. Les procès récemment intentés à un ancien président de la République comme à une ancienne cheffe de parti souhaitant se présenter pour la 4e fois à l’élection présidentielle ne sont donc que la conséquence de ces nécessaires évolutions législatives. Ces réformes ont rendu les élu-e-s responsables de leurs actes devant la justice et plus seulement devant leurs électeurs. Dès lors, la dénonciation virulente de prétendus jugements politiques comme la remise en cause des juges interrogent. Comment peut-on réclamer en permanence des peines plus lourdes ou des sanctions plus rapides et s’étonner ensuite d’être poursuivis après de potentielles malversations ? À force de taxer les juges de laxisme, certain-e-s responsables de droite comme d’extrême-droite ont visiblement fini par croire à leurs propos démagogiques. Un véritable État de droit repose sur l’indépendance de la justice comme sur l’égalité de tous et toutes devant la loi. L’actualité ne fait que rappeler ces règles fondamentales en démocratie.

Les élues et élus de la majorité municipale : Julien BADONI, Thierry BERTHÉLÉMY, Patricia BIKONDI, Alexis BOCHE, Fabrice BOISSET, Khaled BOUCHAJRA, Gwennaëlle BOUCHER, Aziza CHAÏR, Marie DE CARVALHO, Françoise DIAZ, Philippe DOLBEAULT, Sylvie DUBOIS, Christian FROMENTIN, Mathieu GALLOIS, Armelle GELOT, Catherine HAMON, Maryvonne HAUTIN, Marie-Lise LALOUE-BIGOT, François MAMET, Fanny PRÉVOT, Olivier RENOU, Evelyne RALUY-SAVOY, José SANTIAGO, Josette SICAULT, Romain SUZZARINI, Jean-Paul VANNEAU, Claude VANTHOURENHOUT et Hoirda ZAGHOUANI.

Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux et sur : www.continuonspoursaran.fr/blog
 

 

Dernière mise à jour : 05 mai 2025